3 questions à Manuel Bardail, co-fondateur de POMLA
Tout au long du mois, nous allons vous faire découvrir les co-fondateurs de POMLA, votre boutique en ligne d’occasions Apple. Nous débutons notre série avec Manuel Bardail.
Ce Guadeloupéen, âgé de 21 ans, est étudiant en 1ère année de Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (master 1) en alternance au Lycée de Baimbridge aux Abymes. Son ambition : devenir expert-comptable. Il a choisi de s’investir dans POMLA, parce qu’il croit au potentiel du concept. Entretien.
Pourquoi avez-vous décidé de devenir co-fondateur de POMLA ?
Manuel Bardail : J’avais déjà une activité un peu similaire, puisque je vends des téléphones d’occasion depuis plusieurs années, à petite échelle.
J’ai découvert par hasard le concept de POMLA, j’ai visité le site et j’ai tout de suite accroché. J’ai aussi apprécié que cela soit fait en Guadeloupe par des Guadeloupéens.
J’ai donc envoyé un mail au service client de POMLA pour exprimer mon intérêt pour le projet. Non seulement Kurt Fabroni (ndlr : à l’initiative du projet) m’a répondu, mais il m’a même proposé un rendez-vous.
Par la suite, nous nous sommes rencontrés pour échanger. Kurt a constaté que j’étais vraiment motivé à l’idée de rejoindre l’équipe et m’a donc fait la proposition. J’ai accepté avec joie.
De quoi vous occupez-vous au sein de POMLA ?
Manuel Bardail : Je mets à disposition mes produits. J’effectue également certaines livraisons de commandes et les installations, si nécessaire. J’essaye toujours de me rendre disponible, dès qu’il y a un besoin au sein de l’équipe.
Je m’occupe de l’expertise des téléphones que POMLA envisage d’acheter. Pour ce faire, nous déterminons un premier prix avec le vendeur, puis nous prenons un rendez-vous avec lui pour examiner le téléphone et nous mettre d’accord sur un tarif d’achat définitif.
Je participe à l’élaboration des grilles tarifaires et à la mise en place de la stratégie d’achat/vente, mais aussi pour l’expérience client qui est l’un des fondements même de POMLA, inspiré d’Apple. Le client au centre de notre préoccupation sans défavoriser le vendeur sans qui nous n’existerions pas !
Quel futur voyez-vous pour POMLA ?
Manuel Bardail : C’est un projet qui a de l’avenir, mais qui nécessite du travail et de l’organisation. Il a beaucoup de potentiel. Le site n’a ouvert qu’en mars et pourtant, nous enregistrons déjà une croissance des ventes et un grand intérêt pour la boutique.
En gérant bien POMLA, nous pouvons devenir le leader dans le domaine aux Antilles et en Guyane.